2018, 2019, 2020, 2021 CTS saturée en tramways


9 juillet 2021, le tram en surface n’est plus suffisant à HDF, tout le monde l’admet. passons à la vitesse supérieure. simplement prolonger le tunnel foré existant… qui fut possible en 1993… modifier ensuite le tram en surface? pas obligé. Croquis officiel ville

participer.strasbourg...Dossier complet Tram entre Strasbourg Schiltigheim et Bischheim.pdf

2020: les DNA en général: 🗞DNA: dna.fr/edition-strasbourg/2020/01/25/le-tram-avenue-des-vosges-consequence-du-tram-schilikois <début extrait DNA>directement sous le titre: Le projet du tram vers Schiltigheim, à l'étude, ne pourra pas se faire sans la construction de lignes de tram avenue des Vosges et boulevard Wilson. En raison de la saturation du noeud de l'Homme de Fer. Lire cette autre page: tunnel #2# Halles-Étoile

<début extrait DNA>directement sous le titre: Le projet du tram vers Schiltigheim, à l'étude, ne pourra pas se faire sans la construction de lignes de tram avenue des Vosges et boulevard Wilson. En raison de la saturation du noeud de l'Homme de Fer.

Cette fois, c'est clair, le réseau de tram de l'agglomération strasbourgeoise est complètement saturé. Et toute nouvelle ligne nécessitera de repenser la connexion au réseau existant sans ajouter de trafic supplémentaire au noeud de l'Homme de Fer. C'est ce qui ressort d'un document, le cahier des clauses techniques particulières, qui encadre la commande d'une étude de faisabilité d'un tram vers Schiltigheim.

3e chapitre:◾️Homme de Fer saturé

Selon le service Transports en commun de l’Eurométropole, qui a rédigé le cahier des charges, «l’exploitation actuelle du noeud historique Homme de Fer ne permet plus l’ajout d’une ligne commerciale supplémentaire sans perturber significativement le niveau de service». Et d’ajouter que «la logique d’exploitation d’un réseau radial vers le coeur de l’agglomération atteint aujourd’hui ses limites et doit dorénavant s’orienter vers une logique de desserte transversale et polycentrique ». Injecter une nouvelle ligne dans le réseau qui devrait passer par Homme de Fer aurait pour conséquences des embouteillages de trams notamment aux abords de la station Homme de Fer, des ralentissements des lignes les plus fréquentées et, au final, une dégradation de l’image du réseau et de son attractivité.<fin extrait DNA>

"Nous sommes saturés au niveau des infrastructures de tramway ", indique-t-on à la CTS, lire ci-dessous la page courante.

L’USINE NOUVELLE - Strasbourg, pionnière de la mobilité décarbonée

https://www.usinenouvelle.com/article/strasbourg-pionniere-de-la-mobilite-decarbonee.N767869

(testé en février 2019: sur un ordinateur, ce journal demande un abonnement, par contre, sur un téléphone on peut lire l'article en entier sans abonnement)

PAR OLIVIER COGNASSE PUBLIÉ LE 21/11/2018 À 10H30

REPORTAGE Précurseur en matière de mobilité durable, la capitale alsacienne continue à avancer dans la décarbonation.

Remarque: l'offre en mobilité décarbonée explose uniquement avec un métro. Avec celui-ci, beaucoup plus de gens utilisent les transports en commun (tout en diminuant les frais d'exploitation): un pas encore à faire à Strasbourg. Le métro est l'offre la plus efficace, rentable, rapide pour la mobilité décabornée. Parler de «pionnière de la mobilité décarbonée», alors que cette ville n'a pas encore fait le métro est un peu déplacé.

À 12 km/h de moyenne sur la colonne vertébrale du réseau, c'est plutot de l'immobilité décarbonée. Normal que autant de gens préfèrent le vélo.

Les Strasbourgeois restent les champions de France de la petite reine. Le vélo représente, selon la mairie, près de 18 % des déplacements dans le grand centre et 10 % dans l’ensemble de la ville. Les habitants circulent également en tramway. Car dans la capitale alsacienne, ce mode de transport, abandonné comme partout en France à l’orée des années 1960, a fait son retour avec une première ligne mise en service en 1994. Mais pas question de le cantonner aux faubourgs de la ville, il traverse le centre-ville à proximité de la cathédrale et de la place Kléber.

C’est depuis le centre de supervision de la Compagnie des transports strasbourgeois (CTS), l’opérateur historique installé dans le quartier Cronenbourg, que le réseau d’une centaine de tramways et de 240 bus est piloté. "L’entreprise a été créée par les Allemands en 1877. À l’époque, il s’agissait de véhicules hippomobiles, rappelle Jean-Philippe Lally, le directeur général de la CTS.

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"Nous sommes saturés au niveau des infrastructures de tramway ", indique-t-on à la CTS.